L'industrie automobile a toujours été fortement réglementée par les lois sur l'environnement, la fiscalité et la sécurité, dans certains endroits plus que dans d'autres. Au Japon, les stipulations du gouvernement et la demande de voitures abordables lors de la reconstruction de l’économie après la Seconde Guerre mondiale ont donné naissance aux «voitures kei». Le terme est l'abréviation de «keijidosha» en japonais, qui signifie «automobile légère».
Initialement un segment de niche domestique de voitures agiles, légères et sous-puissantes spécialement conçues pour le marché japonais, les voitures kei ont rapidement gagné une clientèle dévouée dans le monde entier. Bien qu’elles soient sévèrement limitées par un certain nombre de règles, il existe un tas de voitures kei qui feraient des promenades très amusantes sur les routes actuelles et disponibles à une fourchette de prix difficile à ignorer. Jetons un coup d'œil aux 15 voitures kei les plus intéressantes qui valent la peine d'être importées du Japon. Il y a une voiture kei pour gratter toutes les démangeaisons de tout passionné fervent, du cool au mignon, du vintage au futuriste, du pratique au décalé ou même au bizarre, ils feront sûrement tourner les têtes quand ils partiront.
Même si vous n’êtes pas un réducteur inconditionnel, vous avez probablement entendu le terme, mais vous ne connaissez peut-être pas l’histoire intéressante et riche derrière l’invention et l’évolution de ce segment automobile unique. À première vue, d'après les innombrables photos que vous pouvez trouver sur Google, les voitures Kei sont des supercars esthétiquement agréables qui ont été rétrécies dans la sécheuse.
L'époque où les voitures kei ont été introduites a expliqué pourquoi elles avaient un tel succès au Japon. Après la Seconde Guerre mondiale, en raison de la pénurie de matériaux et du prix élevé du carburant, les constructeurs japonais ne pouvaient produire que des quatre-roues de la taille d'une pinte avec de petits moteurs. À l'époque, le gouvernement a également offert des incitatifs fiscaux pour encourager les gens à posséder une voiture, de sorte que ces voitures kei agiles ont été conçues pour s'inscrire dans la tranche de taxe routière la plus abordable.
Les premières voitures kei au Japon ont éclaté de la scène en 1949. Fait intéressant, ces microcars n'étaient pas une invention japonaise. Mais ils ont immédiatement obtenu l'approbation du marché, car en plus des circonstances historiques ci-dessus, ils étaient idéaux pour ce marché distinct, qui était en proie à des routes urbaines encombrées et au manque extrême de places de stationnement.
Une voiture de kei doit mesurer moins de 11,2 pieds de longueur et 4,9 pieds de largeur et 6,6 pieds de hauteur. Avec des dimensions proches de celles d'un kart à pédales, ce sont les plus petites voitures du Japon, ou d'ailleurs. Les moteurs doivent être bien en dessous de la barre des 1,0 litre et devaient initialement être de 350 cm3 ou moins, mais la réglementation a changé à plusieurs reprises depuis. Désormais, la cylindrée maximale du moteur est de 660 cm3, ce qui ne fait pas plus de 63 chevaux. Les voitures Kei sont généralement économes en carburant, compte tenu de leur faible encombrement, de leur légèreté et du fait qu'elles sont fabriquées au Japon pour le marché japonais.
Grâce à leur efficacité énergétique, leur prix bon marché, leurs manœuvres et leur stationnement faciles, les incitations fiscales gouvernementales accordées aux propriétaires et, bien sûr, leur style esthétique, les voitures kei ont connu un succès instantané. En 2018, sept voitures kei ont fait partie des 10 meilleures ventes au Japon. Bien que les ventes aient chuté pendant un certain temps avec l'augmentation des taxes en 2015, elles ont rapidement rebondi.
Malgré leurs origines presque anciennes, les voitures Kei ont continué à fonctionner et sont devenues les voitures définitives du Japon urbain moderne. La plupart des constructeurs automobiles nationaux proposent un large choix pour chaque usage et chaque acheteur, des roadsters aux berlines, en passant par les VUS, les camionnettes de livraison, les microvans et même les voitures de sport élégantes et décemment puissantes. Il existe un certain nombre de modèles qui sont tout simplement bizarres pour les marchés d'exportation, mais étant des voitures japonaises de kei, elles ont toujours l'air vintage et adorables.
Toutes les voitures kei ne permettent pas d'exporter avec succès, en raison des limitations de taille et de puissance. Cela dit, il existe de nombreux modèles avec une puissance décente et équipés de turbocompresseurs, qui peuvent également être réglés pour plus. Et en fonction de vos besoins et des circonstances de conduite, leur empreinte agile et leur légèreté peuvent fournir une performance vivante et unique, et peuvent en fait s'avérer pratiques pour un certain nombre d'objectifs, tels que la livraison ou les déplacements dans des rues urbaines exiguës.
Auparavant, les voitures japonaises kei étaient rarement exportées en dehors du Japon. Cependant, avec leur popularité croissante, de nombreux modèles ont été exportés avec succès vers d'autres pays.
Traditionnellement, les exportations directes du Japon sont de très haute qualité, en raison de la combinaison unique d'habitudes de conduite à faible kilométrage, d'un climat assez doux et d'inspections de sécurité très strictes qui obligent les propriétaires à passer à un nouveau véhicule beaucoup plus tôt qu'ici dans l'ouest. . Cela a créé un énorme réservoir de voitures d'occasion abordables et bien entretenues qui étaient généralement vendues sur des marchés comme l'Afrique, l'Inde et l'Australie.
Si vous vivez aux États-Unis, la bonne nouvelle est que de nombreuses voitures kei sont désormais admissibles à l'importation légale en vertu de la règle d'exemption de 25 ans. Cela signifie que vous pouvez maintenant mettre la main sur la récolte la plus malade et la plus désirable de voitures kei fabriquées au début des années 90, pour une gamme de prix tout à fait abordable. Il existe de nombreuses options attrayantes pour les amateurs de manèges sportifs et inhabituels.
Une remarque importante cependant: si vous mesurez bien plus de six pieds, vous risquez de ne pas rentrer ou de conduire confortablement dans l'un de ces munchkins. Si vous êtes égaré pour ces véhicules originaux et adorables, votre meilleure option serait les berlines et les fourgonnettes plus spacieuses. Cette liste ci-dessous en a quelques-uns.
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Commençons notre liste avec certains des classiques rétro les plus époustouflants des voitures kei de tous les temps. Le Pao compact et esthétique a été introduit par Nissan avant même que le rétro ne soit une chose dans la conception automobile, et est instantanément devenu un grand succès.
Le nom «pao» est un mot chinois qui signifie une habitation portable mongole. Et fidèle à son nom, cette minuscule voiture de kei polyvalente est venue avec un design intérieur et extérieur distinct sous le concept de «l'esprit aventureux».
PAO a été exposé au 27ème salon de l'automobile de Tokyo en 1987 en tant que concept-car et a ensuite été commercialisé en 1989. Il s'est vendu pendant seulement trois ans entre 1989 et 1991 et est venu dans une configuration de conduite à droite adaptée au marché intérieur japonais. 51 657 unités ont été rapidement épuisées en 3 mois. La liste d'attente était longue et les commandes étaient livrées selon le principe du premier arrivé, premier servi.
La Pao a été développée en tant que voiture de ville rétro à la mode chez Pike Factory, le groupe de projet spécial de Nissan. C’est pourquoi il est connu comme faisant partie des voitures Pike de Nissan, avec le Nissan Figaro (décrit plus loin ci-dessous), le S-Cargo et le Be-1.
Étant agile et modeste comme il est, le Pao était capable de performances solides, avec une suspension indépendante, et le moteur de 1,0 L (987 cm3) délivre jusqu'à 52 chevaux, 51 mpg (5,5 L / 100 km) en ville et 79 mpg (3,4 L / 100 km) sur les autoroutes à une vitesse constante de 37 mi / h (60 km / h). Une transmission automatique à trois vitesses ou une transmission manuelle à cinq vitesses était disponible, la transmission manuelle étant plus populaire.
Le Pao compact et léger est très amusant à conduire. Pour réduire le poids, il était livré avec un plateau en toile et ne nécessitait que 4,4 m pour tourner. Il a un style qui ressemble aux voitures anciennes les plus en vogue de l'époque. Les caractéristiques de conception distinctives comprennent un hayon arrière divisé comme l'Austin A40 Farina Countryman, la première voiture à hayon britannique (la partie vitrée se soulève et la partie inférieure s'ouvre pour créer un hayon, également appelé hayon à clapet). D'autres caractéristiques notables qui ont fait son nom sont les fenêtres «rabattables» similaires à la Citroën 2CV, les virures latérales qui ont inspiré les premiers styles de carrosserie Woodie et les charnières de portes extérieures comme l'Austin Mini des années 1960 à la mode.
Si vous êtes amoureux de cette beauté, il est tout à fait légal de posséder et de conduire le Pao depuis un certain temps maintenant, d'abord au Canada et plus tard aux États-Unis. Un Pao peut être le vôtre pour seulement environ 6000 $ pour un modèle en bonnes conditions. Pour une voiture d’aspect vintage avec beaucoup de caractère et si agréable à conduire, c’est une bonne affaire! Une autre bonne nouvelle est qu'il y a une offre saine d'exportations abordables en provenance du Japon et un bon soutien après-vente. Vous ne devez payer que les frais d'expédition internationaux et votre importateur local expédiera la voiture à votre porte.
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La Subaru 360 a été l'une des premières voitures kei jamais exportées en dehors du Japon, y compris aux États-Unis. Elle était surnommée la «coccinelle» au Japon, et cette minuscule microcar vous rappelle en effet tout de suite la Volkswagen Beetle de l'époque. Comparée à la Beetle, cette voiture kei japonaise était 300 $ moins chère et 1000 lb plus légère.
La 360 était en fait la première voiture que Subaru ait jamais fabriquée. Il a été dévoilé en 1958 et produit en 12 ans jusqu'en 1971, avec une production de 392 000 unités au cours de sa course de modèle.
À partir de 1968, environ 10 000 unités ont été importées aux États-Unis et offertes à 1 297 $. Ils ont été annoncés comme «bon marché et moche» à l'époque, mais la 360 n'est certainement pas laide. Elle est aujourd'hui très recherchée par la communauté des amateurs de voitures à l'étranger et était l'une des voitures les plus populaires du Japon à l'époque. En fait, ces voitures minuscules et lentes ont ouvert la voie aux voitures plus grosses et plus puissantes qui sont arrivées sur le marché dans les années 70 et 80.
La 360 était disponible en une seule génération, et proposée en trois variantes: la familiale à deux portes, la berline «convertible» avec un toit en toile à enroulement et la voiture de sport, ce qui signifie que vous pouvez choisir celle qui satisfait vos bizarreries . Elle était représentative de la voiture kei japonaise de l'après-guerre, avec une étiquette de prix peu coûteuse, une empreinte de pas agile et un poids à vide de 1000 lb (ce poids exempte le modèle de la conformité aux réglementations de sécurité américaines).
Cette adorable voiture kei vintage était dotée d'un panneau de toit léger en fibre de verre, de portes à charnières arrière et d'une suspension arrière à essieu oscillant. Une caractéristique notable était la construction monocoque. Monocoque est un mot français qui signifie «coque unique» et fait référence à un type de construction automobile où les charges sont supportées par la peau externe de la voiture au lieu d'un cadre interne. La construction monocoque à elle seule a rendu la Subaru 360 différente, puisque les fabricants sont passés à la construction monocoque après la Seconde Guerre mondiale, et est maintenant la norme pour les voitures particulières et de nombreux camions légers.
La plaque signalétique 360 a été dérivée de sa cylindrée de moteur de 356 cm3 en vertu de la réglementation des voitures kei. Le moteur à deux cylindres, qui produisait de 365 cc à 423 cc, signifiait que la 360 était désespérément sous-alimentée, fidèle à son surnom de «coccinelle». Au cours de sa première année de production en 1958, le premier moteur produisait une puissance négligeable de 16 ch (12 kW) et passait à 25 ch (19 kW) à la fin de son modèle. Un moteur à double carburateur de 36 ch (27 kW) en option était également disponible.
Équipé d'une transmission manuelle à 3 vitesses, ce petit bug avait une vitesse de pointe de 96,6 km / h. Bien que lente, la 360 se vantait d'une efficacité énergétique décente à 66 miles par gallon, grâce à sa petite taille et sa légèreté.
Comme les autres voitures kei, cette limitation du moteur était due au fait que ces véhicules ont été conçus pour les conditions de conduite typiques au Japon, avec de courtes distances de conduite quotidiennes en moyenne de 8 à 13 km et des limites de vitesse faibles à 40 km / h (24,9 mph) dans les villes.
La Subaru 360 a été remplacée par le R-2 moins connu mais plus axé sur les performances, qui a été à son tour rapidement remplacé par le Subaru Rex de longue durée. En 2020, une berline Subaru 360 en excellent état (n ° 2) pouvait être achetée pour environ 10000 $, ce qui était assez abordable. Cependant, en 2021, les prix ont en quelque sorte monté en flèche à 40000 dollars et plus. Attendons un peu pour voir si les prix se refroidissent un peu lorsque la pandémie est maîtrisée.
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Honda S600
Honda a été l’un des premiers constructeurs automobiles japonais à pénétrer le marché américain dans les années 60. Avant les années 60, Honda était avant tout un fabricant de motos scooters. Et le joli petit roadster S600 a été l’un des tout premiers modèles de voiture de Honda, qui a fait irruption dans la scène automobile japonaise en 1964. C'était un cabriolet deux places extrêmement compact et léger, avec un style sobre, sans prétention mais sophistiqué et élégant.
Construite entre 1964 et 1966 en tant que voiture de sport 2 portes de lancement de Honda, la S600 a été conçue et fabriquée selon des normes incroyablement élevées dans le véritable esprit Honda. Il bénéficie d'un superbe savoir-faire à l'intérieur et à l'extérieur, y compris un moteur de moto qui a atteint 9500 tr / min. Bien conçue et dynamique mais pas voyante, la S600 était l’incarnation de la philosophie de Honda et était la base solide de leurs derniers véhicules à quatre roues.
Il est d'abord sorti en conduite à droite uniquement, mais a rapidement proposé la version conduite à gauche pour plaire aux marchés étrangers. En plus de la finition standard, il y avait aussi le SM600 amélioré. Le SM600 offrait une gamme d'améliorations de la convivialité, notamment des sièges mieux rembourrés, un rail de siège amovible pour un retrait rapide du siège passager, une radio et un haut-parleur standard, des feux de recul standard, un chauffage standard, un allume-cigare standard, des couleurs de peinture spéciales et plus .
Le moteur de 600 cm3 ne délivrait que 57 CV, mais grâce à son poids à vide de seulement 1500 livres, la S600 offre toujours une expérience de conduite animée. Fait intéressant, la transmission par chaîne de la S600 provenait directement du système de transmission pour motocyclette de scooter Honda.
Au cours de sa production de trois ans, le style est resté en grande partie inchangé, à l'exception des ajustements des phares, de la calandre et du pare-chocs. Ce petit roadster a ensuite offert une variante coupé en 1965. Plus de 11 000 roadsters ont été produits, dont seulement 1 800 coupés.
La S600 a été remplacée par la S800 en tant que voiture d'image de Honda en 1967, une voiture kei tout aussi désirable au Japon et à l'étranger. Le S800 était une version améliorée, plus puissante et également disponible en coupé. Une Honda S600 ou S800 d'occasion peut être achetée pour quelque chose entre 23 000 $ et 40 000 $ aux enchères.
Honda S800
La S800 a été présentée pour la première fois au Salon de l'automobile de Tokyo en 1965 et, comme la S600, elle était disponible en tant que roadster ou coupé. La S800 a continué à utiliser la transmission par chaîne et la suspension indépendante à l'arrière de ses prédécesseurs au début, et a ensuite adopté un arbre de transmission conventionnel, une extrémité arrière à essieu dynamique avec quatre tiges de rayon et une tige Panhard pendant un certain temps, puis les tambours avant. ont été remplacés par des freins à disque.
En partie grâce à l'expertise de Honda dans la fabrication de puissants moteurs de motocyclette, le moteur 4 cylindres en ligne de 791 cm3 de la S800 délivrait une puissance de 70 chevaux (52 kW) à 8000 tr / min et une vitesse de pointe décente de 160 km / h. tout en atteignant un rendement énergétique de 35 mi / gal (6,7 L / 100 km). En 1967, la S800 était la voiture de 1 litre la plus rapide au monde grâce à son moteur à 10 000 tr / min à haut régime.
Jusqu'en 1970, environ 11500 S800 ont été produits. La production des roadsters S bien-aimés a été interrompue pendant près de trois décennies jusqu'à la sortie du S2000 pour l'année modèle 2000.
En plus des S600 et S800, vous pouvez également consulter le S800M (alias S800MK2) conçu pour le marché américain. Il a été introduit en 1968, avec des freins à double circuit, une carburation à mélange pauvre sous le capot, des poignées de porte intérieures encastrées, des vitres de sécurité et des feux de position latéraux extérieurs, mais n'a jamais été officiellement exporté.
Techniquement, la Nissan Figaro n'entre pas dans la catégorie des voitures Kei, car elles sont légèrement plus grandes et ont une plus grande cylindrée. Cependant, il est très proche des microcars japonais du segment, et il est tellement magnifique que nous ne pouvions pas le laisser de côté.
Et étant un modèle de 1991 malgré son look vintage, il est beaucoup plus jeune que la plupart des voitures kei de cette liste, ce qui signifie qu'en tant que voiture de projet, il pourrait être plus facile de travailler avec et nécessiter moins de réparations. Leurs dimensions plus spacieuses ont également plus de sens pour les importations vers les marchés occidentaux.
Le Nissan Figaro est une vraie beauté, avec un style rétro complet qui ne se démodera jamais. En fait, avec seulement 20000 d'entre eux fabriqués à l'époque, ces classiques ne deviendront que plus accrocheurs et désirables avec le temps, alors mieux vaut l'obtenir quand il y en a un disponible dans votre budget.
Le Figaro a été introduit en 1991 en tant que voiture en édition limitée basée sur la plate-forme Nissan Micra. Il était livré de série avec une transmission automatique, une nouvelle carrosserie élégante, un grand toit ouvrant, un intérieur sur mesure et de nombreuses options de mise à niveau. Le petit moteur turbocompressé de 987 CC délivrait 77 CV, mais lorsqu'il est couplé à un corps petit et léger, il est toujours très amusant à conduire.
Il a immédiatement attiré le marché intérieur ainsi que les fans de voitures japonaises à l'étranger. Il y avait tellement d'acheteurs qui faisaient la queue pour obtenir un Figaro à l'époque que Nissan a organisé une loterie et les gagnants ont pu acheter la voiture. Aujourd'hui, c'est toujours l'une des meilleures voitures kei de tous les temps.
Vient ensuite le trio de voitures kei axé sur la performance. Premièrement, la A des voitures A-B-C Kei des années 90 était la légendaire Autozam AZ-1, fabriquée par Mazda mais vendue par Suzuki de 1992 à 1995. C'était une vraie voiture de sport, et en fait même considérée par beaucoup comme la seule supercar du segment des kei, malgré sa taille modeste et son poids à vide de seulement 1500 livres.
Cette adorable voiture de sport est livrée avec un moteur trois cylindres turbocompressé de 657 cm3 qui délivre 660 cm3 et une puissance de 64 ch. Ce qui a fait son succès au Japon, ce sont ses portes en forme de papillon, son châssis solide, son style exotique, ses performances décentes et sa dynamique de conduite animée grâce à sa légèreté. L'édition limitée de ce modèle était également puissante et accrocheuse, arborant un aileron arrière extra-large.
Malgré une cylindrée comparable à celle du Honda Beat, le B du trio de voitures de sport, certains modèles Autozam sont deux fois plus chers que le Beat en raison de son design exotique et élégant seul.
Le seul inconvénient de cette belle voiture kei, puissante et amusante à conduire, c'est qu'elle est relativement rare, car Mazda en a produit moins de 5 000. Si vous êtes amoureux de l'Autozam AZ-1, la bonne nouvelle est que vous pouvez l'importer aux États-Unis maintenant qu'ils ont atteint le statut d'éligibilité de 25 ans.
La Honda Beat, la B des voitures A-B-C Kei, a également plus de 25 ans et peut être importée aux États-Unis, alors saisissez votre chance et cherchez-en une avant que les prix n'augmentent en raison de la forte demande. Le roadster à deux places à propulsion arrière Honda Beat a toujours été l'une des voitures Kei les plus appréciées et les plus recherchées de tous les temps.
Cette mini supercar est livrée avec un toit ouvrant. Son design sportif cool vient de Pininfarina, le légendaire carrossier italien.
Sa production de 1991 à 1995 signifie qu'il était alors sous la réglementation de 660 cm3, de sorte que le Beat est venu avec un moteur trois cylindres de 656 cm3 et des corps de papillon individuels qui délivraient une puissance de 63 chevaux (47 kW) et une vitesse de plus de 8000 tr / min. Vous ne seriez pas loin de penser que cela ressemble à un moteur de moto, ce qui le rend similaire aux Honda S600 et S800 ci-dessus en un sens. En outre, le Beat était naturellement aspiré avec une transmission manuelle à cinq vitesses, une autre caractéristique de la mode Honda typique.
Couplé à un moteur aussi décent, son poids à vide léger de seulement 1656 livres permet une dynamique de conduite extrêmement vivante et amusante. Honda en a construit plus de 33 000 au cours de sa production de cinq ans, ce n'est donc pas aussi rare que certaines autres voitures Kei de cette liste. Son prix actuel sur le marché de l'occasion est relativement abordable, allant de 6 000 $ à 11 000 $ selon l'année modèle, le kilométrage et l'état.
Avec l'Autozam AZ-1 et la Honda Beat, la Suzuki Cappuccino a complété le trio de voitures Kei A-B-C axé sur la performance des années 90, avec une production de 8 ans entre 1991 et 1998. Cette voiture de sport à deux places est appréciée pour son capot long accrocheur et son design de pont arrière court: minimal, sportif mais adorable avec une touche de style rétro. Ce qui le rend encore plus frais, c'est le toit multi-transformable, qui pourrait le transformer en Targa-top ou même en cabriolet complet.
Aussi mignon que cela puisse paraître et paraître (Cappuccino!), Il est relativement puissant compte tenu de son faible encombrement. Glissant sous la limite de 660 cm3, le Cappuccino est propulsé par un moteur trois cylindres turbocompressé de 657 cm3 qui produit un bon 63 ch, il est donc plus proche des Espressos que des Cappuccinos.
La disposition du moteur avant-milieu signifie que toute sa puissance est envoyée aux roues arrière via une manuelle à cinq vitesses ou une automatique à quatre vitesses. Ceci, associé à son poids à vide modeste d'un peu moins de 1 600 livres et à sa taille agile, en fait une expérience de conduite vivante.
Tout dans ce roadster, y compris son esthétique, en fait une recette très amusante. Il est également abordable et peut être facilement acheté au Japon, avec un cappuccino en excellent état qui se vend maintenant à environ 10 000 $ sur le marché de l'occasion.
La voiture de sport la plus connue de Toyota est probablement la Toyota 2000GT, rendue encore plus célèbre grâce au film de James Bond. Mais vous ne savez peut-être pas que deux ans auparavant, en 1962, le constructeur automobile a présenté une voiture de sport de taille étrange appelée Sports 800, sa toute première voiture de sport. Le Toyota Sports 800 a un surnom attachant sur le marché japonais: «Yota-Hachi» (ヨ タ ハ チ), ou «Toyota 8».
À l'époque, Toyota était un constructeur automobile jeune et vert, de sorte qu'ils ne construisirent que plus de 3 100 Yota Hachis jusqu'en 1969 pour le marché intérieur, avec quelques exportations vers des voisins du sud-est asiatique. Cela signifie que cette voiture de sport vintage est rare et que vous avez besoin d'au moins 40000 $ pour mettre l'un de ces mauvais garçons aux enchères.
Une autre mauvaise nouvelle est qu'il n'y a à ce jour qu'environ 300 des Sports 800 d'origine dans des conditions de travail, ce qui les rend tout aussi rares que le très recherché 2000GT, qui a une production de 351 unités. 70% du modèle n’a pas survécu dans son ensemble, en partie à cause des moteurs mourants qui n’ont pas pu être remplacés en raison du manque de pièces disponibles, et en partie à cause de la rouille monocoque en acier mince.
La grande majorité des 3 131 Sports 800 étaient à conduite à droite. Cependant, quelque 300 voitures ont été construites principalement pour le marché d'Okinawa occupé par les États-Unis, où les voitures étaient conduites du côté droit de la route, de sorte qu'elles étaient conduites à gauche.
Le Sports 800 était unique à bien des égards. Tout d'abord, il est venu avec un toit amovible de l'usine qui peut être rangé proprement dans le coffre. Deuxièmement, il se distingue par son style et sa construction de style chasseur à réaction. Fait intéressant, les développeurs de cette voiture kei étaient le concepteur d'avions de la Seconde Guerre mondiale Tatsuo Hasegawa et son partenaire Shozo Sato de Datsun. C'est pourquoi le Sports 800 utilise divers principes d'ingénierie aérospatiale dans ses matériaux et sa conception.
Le thème de l'avion de chasse comprend un auvent coulissant d'une seule pièce au lieu des portes conventionnelles, une caractéristique dérivée du prototype Publica Sports de 1962. Pour réduire le poids et améliorer l'aérodynamisme, de l'acier de calibre mince a été utilisé pour le monocoque tandis que le capot, le panneau de toit et le couvercle du coffre (et même les cadres des sièges pendant les premières années de production) étaient en aluminium. À l'époque, l'aluminium était principalement utilisé pour la construction d'avions de combat.
Il était équipé d'un petit moteur de 800 cm3 qui délivrait 45 ch avec deux carburateurs, une amélioration par rapport au moteur de 700 cm3 qui ne produisait que 28 ch. En dépit d'être sous-alimenté, ce microcar léger est toujours très amusant et pratique à conduire compte tenu de son agilité, et également économe en carburant. Au Japon, le Yota Hachi était le véhicule idéal pour conduire et se garer en ville à 70 km / h (45 mi / h) tout en atteignant l'économie de carburant annoncée de 73 mi / gal. Il a également des performances sur les pistes de course, avec une vitesse de pointe décente d'environ 160 km / h (100 mph), assez impressionnant pour un profil aussi modeste.
La conception de base de la carrosserie est restée la même sur l'ensemble de son modèle, bien qu'il y ait eu des changements subtils, notamment le passage de la première vitesse non synchronisée à la première vitesse synchronisée, des modifications de la calandre et du pare-chocs, et plus tard les feux de position latéraux.
Si vous recherchez une voiture citadine bon marché qui peut vous faire sourire tout en étant pratique au quotidien, vous aurez du mal à trouver quelque chose d'aussi original que cette Suzuki Alto Works à traction intégrale. Ses arguments de vente incluent depuis longtemps un prix bas et une bonne économie de carburant.
Bien qu'elle puisse ressembler un peu à la Renault 5, la Suzuki Alto Works est une berline Kei à deux portes et appartient à la deuxième génération de la ligne Alto. Il a été introduit en février 1987. Il s'agissait de la première voiture kei à atteindre la limite légale de 64 PS (47 kW). C'est la version la plus rapide de la voiture Alto Kei, et plutôt astucieuse à conduire, même si elle ressemble plus à un manège de parc d'attractions.
Comme la plupart des voitures Kei, il utilise un moteur avant monté transversalement, limité à une cylindrée de 660 cm3. La puissance du moteur trois cylindres à 12 soupapes est plafonnée à 64 chevaux et 63 lb-pi. de couple, allant à une transmission manuelle à cinq vitesses. Le moteur peut, dans le style JDM, être réglé pour plus. Là où cette voiture diffère de la plupart des autres voitures Kei, c'est dans le reste de la transmission – elle envoie de la puissance aux quatre roues.
Le petit roadster Honda S660 appartient à la famille des modèles «S» de Honda et est une voiture de sport légère à deux passagers avec un moteur central transversal à propulsion arrière. Sur le plan segmentaire, il succède à l'emblématique Honda Beat des années 90. Même sa taille et son style ressemblaient au Beat. Donc, si vous avez du mal à trouver un beat Honda en bon état, la S660 pourrait être la voiture kei alternative parfaite.
Un autre véhicule emblématique auquel le S660 ressemblait est le NSX. En fait, la Honda S660 est décrite par beaucoup comme une NSX rétrécie dans la sécheuse. Non seulement en termes de style, le roadster S660 dispose également d'un moteur central, tout comme le NSX qui produit 63 CV, mais avec seulement trois cylindres, 660 CCM et un turbocompresseur.
Le résultat est une manipulation pratiquement idéale. À l'époque, il a été déclaré par les réducteurs et les professionnels inconditionnels comme offrant l'une des meilleures expériences de conduite du segment des voitures kei, bien qu'il ne soit pas équipé d'un moteur très puissant.
La voiture est disponible en deux versions, Alpha et Beta, avec palettes de changement de vitesses et une manuelle à six vitesses ou une transmission automatique à sept vitesses CVT.
L’avantage d’acheter une S660 est qu’elle est produite de 2015 à ce jour, donc même si vous achetez d’occasion, tout ce qui est disponible devrait être très jeune avec quelques kilomètres au compteur. C'est en partie la raison de son style moderne. Le reste est probablement dû à son développement par un ingénieur de 22 ans. Fait amusant: cet ingénieur de 22 ans était Ryo Mukumoto, qui à l'époque a battu 400 autres participants au concours interne de Honda pour devenir le plus jeune ingénieur en chef de l'histoire de l'entreprise et a eu 5 ans pour diriger une équipe pour développer le S660.
Sur le marché de l'occasion, une Honda S660 en bon à excellent état se négocie désormais entre 12 000 $ et 17 000 $ selon l'année modèle, le kilométrage et l'état.
Présenté en 1962, ce coupé tiney kei était le premier véhicule à quatre roues produit par Mazda. Au cours de sa courte production entre 1960 et 1966, elle est devenue l'une des voitures Kei les plus vendues.
La R360 était un coupé deux portes quatre places compact et élégant. En ce qui concerne les inconvénients, il est très sous-alimenté, avec un moteur bicylindre en V monté à l’arrière développant à peine 16 CV. Fait intéressant, cela tombe dans la catégorie des voitures de sport, car il a fait pencher la balance à un peu plus de 837 lb ou 380 kg. Différentes variantes étaient disponibles, y compris les berlines P360 et même le pick-up B360.
Cette voiture kei a une histoire remarquable. Lorsque le R360 a fait irruption sur le marché japonais en 1960, il a enfreint les conventions à bien des égards. Cette époque a vu le boom de la demande de propriété automobile au Japon, alors que peu de gens pouvaient se permettre une voiture, même les microcars pour les masses. Ensuite, Mazda a présenté le coupé R360 extrêmement abordable, qui pouvait être acheté pour beaucoup moins cher qu'une micro-mini voiture à l'époque.
Le début a remporté un succès instantané. Juste avant le lancement officiel du coupé R360, Mazda avait déjà reçu des commandes pour pas moins de 4 500 unités.
La moitié du succès est attribuable à l'engagement de Mazda envers l'efficacité de fabrication et l'utilisation de technologies de pointe, ce qui a permis son prix bas de seulement 300000 yens pour la version à transmission manuelle et 320000 yens pour une version équipée d'un convertisseur de couple (le tout premier à la campagne).
Une partie de sa fervente popularité provient de son allure de performance, grâce à l'utilisation d'une technologie de pointe qui était en avance sur son temps. La R360 Coupé a été la première microcar de tourisme à être équipée d'un moteur à quatre temps, qui offrait un meilleur rendement énergétique et une meilleure durabilité que la version à deux temps. Il a également rompu les conventions dans le monde automobile avec un système de suspension indépendante aux quatre roues utilisant du caoutchouc de torsion pour une dynamique de conduite améliorée, un convertisseur de couple et une gamme de technologies de pointe. Grâce à une carrosserie monocoque légère, un capot en alliage léger et d'autres mesures visant à réduire le poids, la R360 Coupé est très agréable à conduire et offre une économie de carburant décente. En fait, c'est la voiture de tourisme japonaise la plus légère jamais produite.
Vous n'avez peut-être pas entendu parler de cette marque auparavant. Daihatsu est une marque plus petite et moins connue, mais à l'époque de l'après-guerre, elle était connue comme le créateur du Copen convertible à 2 portes, très apprécié pour son accordeur et son style incroyablement mignon. Le petit Copen ressemblait à une version rétrécie de l'Audi TT Roadster au début des années 2000.
La Copen était un exemple représentatif du mouvement des voitures japonaises kei à l'époque. Tout y crie «kei», de ses dimensions minuscules à son allure sportive et au moteur de 660 cm3 pour petits alevins. Alors que le toit rigide motorisé escamotable était la principale caractéristique de ce modèle, une variante produite entre 2002 et 2007 était livrée avec un toit amovible.
Faisant irruption sur la scène du marché automobile japonais en 2002 et en est maintenant à sa deuxième génération (lancée sous le nom de Kopen), la Daihatsu Copen est l'un des plus jeunes modèles de voiture kei avec le moins d'années. De plus et plus important encore, sa popularité parmi les passionnés de voitures est due à sa nature hautement personnalisable, ce qui en fait la voiture de projet idéale.
Le Kopen de 2e génération
Au salon de l'automobile de Tokyo 2013, Daihatsu a dévoilé le concept-car de la deuxième génération de la Copen. Il s’appelle le Kopen, avec le slogan «Future Included». Le nom «Kopen» était un mot mixte, dérivé de «kei» de «kei cars» et «open» qui fait référence aux caractéristiques des roadsters décapotables.
The Kopen was lighter than its predecessor, and featured a new monocoque chassis structure called a D-Frame, a new 660cc turbo three-cylinder engine with DVVT, a new suspension system, and better sounding exhaust system. The new versatile D-Frame allows owners to customize their dream roadster with a selection of interior and exterior designs. Styling-wise, it has been redesigned to be more angular.
The Fronte Coupe was introduced in 1971, that is over ten years into the Kei car genre, so kei cars of this period were heavier than their founding fathers. At 500kg, the Fronte Coupe was a hefty beast compared to most of the kei cars in this list. It was produced during 1971-1976, then the upgraded version Cervo SC100 came out during 1977-1982.
This Giugiaro-designed, RWD 2+2 kei car coupe broke the mold when it was presented. First was its cute, understated wedge shape that turned heads both domestically and overseas, despite its miniscule dimensions of 3 meters long, 1.3 meter wide and 2 meters between axles.
Performance-wise, it’s an exciting little ride packed in a very confined envelope that boasted the same mechanical layout as the classic Porsche 911. Its engine was also mounted at the tail and drove the rear wheels like the Porsche 911, while its 42:58 weight distribution was actually better than the Porsche. Other desirable features include the all-independent suspensions, sports-car-type front disc brakes, plus double-wishbones up front and semi-trailing arms at the back.
Its underpowered 360 cc 3-pot engine only produced 37 horsepower, but when divided by 0.36 liter, it still delivered one of the highest specific outputs in the kei car segment. Suzuki claimed that the 2-stroke engine worked just like a six-cylinder motor, despite having only three cylinders. The decent power output coupled with the low roof line and overall aerodynamics allowed for a top speed of 78 mph, which was impressive for such a diminutive engine.
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The Jimny was an icon in the SUV category of kei cars when it was first launched in April 1970. Although what you see these days is no longer considered kei cars, especially the ones that are exported, Japan still has a Kei car version of the four-wheel drive off-road mini SUVs to date by putting in a small engine and getting rid of the fender flares and bumpers to make it smaller.
While most K-cars are designed for urban errands, the Jimny double duties as a versatile and capable 4WD off-road vehicle. That said, it’s also perfect for maneuvering and parking on cramped Japanese city streets, thanks to its compact size, lightweightness and thus decent fuel efficiency.
The base model is powered by a 660 cc, three-cylinder, turbocharged petrol engine. The Jimny Sierra, which was made for export markets, boasted a 1.5 L four-cylinder naturally aspirated petrol engine that produced 100.5 hp at 6,000 rpm, and featured increased displacement and wider dimensions. Spanning four generations, all Jimny featured a ladder frame chassis, that is separate frame and body. This construction means the body serves only as a cabin to protect against the elements, with no structural carrying role.
The Jimny has made for successful exports to Europe, Canada, South America, Australia, New Zealand, India and many SEA countries. It has been exported to the US, but was later withdrawn.
Even though the Suzuki Jimmy has been the most popular compact SUV in Japan back in the day to date, Suzuki made another crossover SUV that gets equal praise: the Hustler. An interesting, unique and practical feature that it’s known for is the folding seats that can transform the interior into a sleeping area during road trips.
This K-car is loved mainly for its retro look, decent fuel economy and a long list of options. With a 660 CC engine that puts out around 65 HP, it is not the fastest thing on the road, but is practical for urban driving and offers quite lively rides.
Introduced in 1957, the Daihatsu Midget is a single-seater, 3 wheeled mini-truck with tiny engines, created as a light delivery vehicle for tight spaces. In 1993, it evolved into a microvan/kei truck with two seats. Being a light delivery vehicle, it only weighs 1,257 lbs. and has a cargo capacity of only 330 lbs. (150kg), despite being a truck.
The second generation was introduced in 1996 with 4 wheels, four-wheel drive and several unique features, as well as the optional air conditioning. At less than 9.5′ long and barely over 4′ wide, the Midget II is a bizarre looking tiny truck and can fit in any parking spot.
The line includes several distinctive models, all having in common a single or two-seat utilitarian design and semi-enclosed cab, while an enclosed cab can be had from the factory as a specialty option. Another semi unusual thing is that the spare tire is on the front, a common feature with the Volkswagen Type 2 hippie van. Although production ended in 1972, the funny looking truck still amassed a dedicated following in Japan, and there was even a racing series at one time.
The second generation model came with a 660cc engine that delivered 45hp while maintaining an EPA of 45 mpg. You can choose between automatic and manual transmissions.
In addition to the Midget, this small K-car with a memorable name was another pickup that is hard to believe it’s a pickup. Basically a K-truck with a tiny bed behind the front two seats, it is definitely one of the most interesting Kei cars ever made. Introduced in 1983 and produced up until 1988, this mini-size coupé utility was the only bonnet type pick up sold under the 550-cc kei car restriction.
Despite being classified as a commercial vehicle in Japan and Australia so as to benefit from lower taxes, its 550 cc engine (which produces 31 HP) and an equally diminutive load capacity means very limited utilitarian values. However, this unique “pickup” (well, technically) still won a huge fanbase in Japan and actually proved useful for various urban delivery purposes, thanks to low fuel consumption and small footprint, which makes maneuvering and parking in the cramped city streets less of a headache.
This half-glass liftgate Kei car, the Minica Lettuce, is as cute as its name. All eyes would be on it if it ever roams on the street anywhere outside of Japan.
The Minica as a whole was marketed towards female buyers, but the Lettuce was even more so. A telltale characteristic is that the two passenger doors are on one side, with only one on the other. This design was to prevent small children from getting out of the car unattended, and for Japanese mothers to easily move young children and groceries out from the passenger side of the car. “Lettuce” is also a pet name aimed at attracting lady shoppers.
Interestingly, Mitsubishi jointly designed the Lettuce with Seiyu supermarkets, one of Japan’s largest supermarket chains, to specifically make the ideal commute car for grocery shopping and transporting young children. Seiyu was selling the $6,000 car in its supermarket chain, not far from fresh farm produce.
Like most K-cars, the Lettuce was still an economy hatchback, but the way Mitsubishi played on that format made for a recipe for fun. It was relatively spacious, more like regular-sized hatchbacks than K-cars, with higher-quality interior materials, a more upscale aesthetic, improved braking, handling and stability.
By the time the Lettice hit the market, the limit imposed on kei cars increased, so Mitsubishi missed out on cramming a 660cc engine under its little hood rather than the 550cc it made do with, which delivered 46 horsepower, still decent for urban commute.
Launched in August 2009 to the Japanese domestic market, this is another one of the younger kei cars, and also marketed solely to female drivers. In addition to its sweet name and heart-warming retro styling, this 5-door hatchback is a practical and well-rounded commuter car, a 658 cc front engine that produces a decent 51 hp, a 4-speed automatic CVT transmission, and available in either front-wheel-drive or four-wheel-drive. The model bears a slight resemblance to the Renault 4.
As far as Kei cars go, the Tocot is among the more spacious ones. But unless you are your only family and don’t mind people pointing and laughing as you roll past them in this car; we wouldn’t recommend it.
Forget minivan; this is a microvan, just slightly bigger than a full-size child’s toy. One look at it and we are sold, never mind the starved engine it usually came with. It also comes in a pickup version and offers better utility than the Kei trucks mentioned before it. Plus, we can’t get over the “aww” factor here.
The Toyota Pixis Mega is a prime example that shows the push to utilize the last inch of interior space given a very tight envelope. This tiny, boxy vehicles looks adorably funny, with flat sides, short hood, small trunk, and suicide doors.
This model comes with a long list of options to cater for different needs, including several paint options that will brighten up urban streets and turn heads. Performance-wise, the 658 CC engine produces either 52 HP or 63 HP, depending on the option.
Introduced in 1989, the S-Cargo might be one of the most oddly shaped four-wheelers ever made, and definitely one of the ugliest cars by Nissan. However, as bizarre as it looks, the Nissan S-Cargo actually has a cult following in its home country as well as worldwide, simply for its unique/quirky and highly stylized design concept.
This urban delivery K-car is typical of the segment, with a tiny footprint and a modest 1.5-liter engine mated to a three-speed automatic gearbox, but is practical and quite fun to drive. Nissan only sold around 8,000 of them, which further heightened their rare and unique status.
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